Théâtrez-moi
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29.06 > 30.06.2023

Kanal - Centre Pompidou

Bruxelles


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NIGHT SHIFT II: Ula Sickle & Stine Janvin


NIGHT SHIFT nous revient au début de l’été pour une seconde édition qui réunit musiques électroniques, art visuel, clubbing et performances. Echoic Choir, nouvelle collaboration de la chanteuse, performeuse et artiste sonore Stine Janvin et de la chorégraphe Ula Sickle, ouvre le week-end et met en espace des chœurs acoustiques pour évoquer le rituel qui nous rassemble sur une piste de danse aux petites heures de la nuit. Six performeuses et performeurs partagent le dance floor avec le public pour une expérience proche de la rave.

Inspiré de l’esprit de l’ancienne boite de nuit bruxelloise qu’était K1, NIGHT SHIFT est une série de quatre weekends qui rassemblent musique, son, arts visuels, danse et club culture. Une fois par saison, à la nuit tombée, NIGHT SHIFT propose un programme interdisciplinaire guidé par la liberté, le mystère et les sensations que permet l'obscurité.



ULA SICKLE & STINE JANVIN
"Nothing left to dream. Climax, anti-climax. Repetition, endless repetition. A thousand plateaus of crescendo."
From the novella Last Utopia, by Persis Bekkering

Par son minimalisme, Echoic Choir, nouvelle collaboration entre la vocaliste Stine Janvin et la chorégraphe Ula Sickle, ramène l’expérience du club à l’essentiel. Cette création met en espace des chœurs acoustiques pour évoquer le rituel qui nous rassemble sur une piste de danse aux petites heures de la nuit.

Basé sur la puissance des voix acoustiques et de la résonance spatiale, avec très peu d’amplification ou d’effets sonores, ce projet veut créer un évènement collectif et immersif. Les performeurs, performeuses et le public partagent un même espace, celui d’une rave ou du dancefloor d’un nightclub où le son, la chorégraphie et les aspects visuels créent une expérience forte où explorer plusieurs sens à la fois.

Enrobés d’une création lumière immersive, la voix et le corps sont centraux. La musique est un patchwork de rythmes qui s’imbriquent, de mélodies reprises à contretemps et de mots venant des voix des artistes en présence, des corps tels qu’ils respirent, chantent, bougent. Portées telles de secondes peaux, leurs tenues de latex dégoulinent d’une sueur collective tandis que le public ajoute un niveau de densité à l’espace où s’incarne un rituel commun d’un nouveau type.